EN CE QUI CONCERNE L’ESPRIT FÉMININ : UNE ANALYSE DE L’APPROCHE DU COUR SUPRÊME DU CANADA ENVERS LES FEMMES ET LA SANTÉ MENTALE

Auteurs-es

  • Odelia Bay

Résumé

Les cas de discrimination dans les cours canadiennes deviennent de plus en plus complexes, et quelques experts légaux prédisent que le nombre d’actions légales concernant l’handicap augmentera. Jusqu’à présent, la Cour Suprême du Canada n’a considéré que quelques cas qui impliquent les femmes et la santé mentale. Cet article utilisera donc une analyse engendrée de l’handicap afin d’examiner trois décisions prises par la Cour Suprême du Canada : Université de la Colombie-Britannique c. Berg (1993), l’Office des services à l’enfant et à la famille de Winnipeg (Région Nord-Ouest) c. G. (D.F.) (1997), et Gosselin c. Québec (Procureur général) (2002).  Les résultats indiquent que dans les cas où le genre et la santé mentale se croisent, la Cour Suprême soit ne veut pas, soit ne peut pas traiter les problèmes d’intersectionnalité afin de reconnaître l’expérience engendrée des maladies mentales. L’analyse démontre aussi qu’il semble que la Cour Suprême défend et protège ses intérêts personnels. Il paraît que l’égalité et la justice sont plus faibles que la décontextualisation et les stéréotypes.

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Publié-e

2011-09-12

Comment citer

Bay, O. (2011). EN CE QUI CONCERNE L’ESPRIT FÉMININ : UNE ANALYSE DE L’APPROCHE DU COUR SUPRÊME DU CANADA ENVERS LES FEMMES ET LA SANTÉ MENTALE. Discours Critiques Dans Le Champ Du Handicap, 3. Consulté à l’adresse https://cdd3.journals.yorku.ca/index.php/cdd/article/view/31553

Numéro

Rubrique

General